The good news
is there’s no room
for all the kids.
The good
news is
there’s
no room
for all
the kids.
Les automobiles de sport fascinent le « P’tit Nicolas » Brévune depuis sa tendre enfance. Sur le chemin de l’école, il passe et repasse chaque jour devant un garage anonyme tout de blanc vêtu qui cache sans aucun doute quelques trésors à quatre roues. Il ralentit, tente d’apercevoir une carrosserie, puis tend l’oreille… une 911 démarre, le flat-six rugit et sa journée est faite.
À cette époque, le patron du garage ne jurait que par un seul modèle : la mythique Porsche 911. C’était sacré. Et pour Nicolas, c’est devenu une évidence. Arrivé à l’âge du stage d’observation, il saute sur l’occasion pour s’introduire dans le temple. Il commence par laver les voitures, gonfler les pneus, surveiller les niveaux. Humble début, mais déjà une immersion dans un monde qui le fait rêver. Il se lie d’amitié avec Marc Dorison, ancien chef d’atelier paternaliste de la concession Porsche Marceau Automobile, figure respectée et passionnée, qui en 1997 fonde DMA Spécialiste Porsche.
Nicolas trace alors sa route : bac pro mécanique, stages techniques, passage par une écurie de course. Il accompagne ensuite Eddy Beneset, qui se propulse champion de France et d’Europe en Rallycross, au volant de sa 306 S 16. Il croise ensuite la route de Julien, Pierre, et un certain Alain France, en M3 et en coupe Saxo. La passion le porte. Aux côtés de Marc Dorison, Nicolas confirme sa vocation, apprend chaque jour un peu plus toutes les subtilités du Stradivarius Germanique. Il assimile l’exigence, la rigueur et la précision sous l’œil impitoyable du Maître. Un à un les clients lui deviennent familiers, les échanges sont complices et notre petit Nicolas se sent pousser des ailes.
En 2014, c’est le top départ pour une nouvelle aventure, succéder au Boss et faire que la fidélité réciproque de tous les clients lui permette d’investir, de rénover le garage de son enfance. Aujourd’hui, il rassemble autour de lui une belle communauté d’aficionados, entre 500 et 600 passionnés au compteur, dont 80% roulent en Flat-six et 20% sur d’autres modèles sportifs de la marque. Chaque samedi matin, entre 8h30 et 11h30, pendant que les enfants sont à l’école, les papassionnés échangent autour d’un café. On parle mécanique, projets, courses, ventes, reventes... C’est devenu un rituel. Et Nicolas ? Toujours là, sourire aux lèvres, prêt à prononcer les mots qui rassurent ou l’idée qui va bien.
Un passionné, un vrai. Comme on les aime.
À cette époque, le patron du garage ne jurait que par un seul modèle : la mythique Porsche 911. C’était sacré. Et pour Nicolas, c’est devenu une évidence. Arrivé à l’âge du stage d’observation, il saute sur l’occasion pour s’introduire dans le temple. Il commence par laver les voitures, gonfler les pneus, surveiller les niveaux. Humble début, mais déjà une immersion dans un monde qui le fait rêver. Il se lie d’amitié avec Marc Dorison, ancien chef d’atelier paternaliste de la concession Porsche Marceau Automobile, figure respectée et passionnée, qui en 1997 fonde DMA Spécialiste Porsche.
Nicolas trace alors sa route : bac pro mécanique, stages techniques, passage par une écurie de course. Il accompagne ensuite Eddy Beneset, qui se propulse champion de France et d’Europe en Rallycross, au volant de sa 306 S 16. Il croise ensuite la route de Julien, Pierre, et un certain Alain France, en M3 et en coupe Saxo. La passion le porte. Aux côtés de Marc Dorison, Nicolas confirme sa vocation, apprend chaque jour un peu plus toutes les subtilités du Stradivarius Germanique. Il assimile l’exigence, la rigueur et la précision sous l’œil impitoyable du Maître. Un à un les clients lui deviennent familiers, les échanges sont complices et notre petit Nicolas se sent pousser des ailes.
En 2014, c’est le top départ pour une nouvelle aventure, succéder au Boss et faire que la fidélité réciproque de tous les clients lui permette d’investir, de rénover le garage de son enfance. Aujourd’hui, il rassemble autour de lui une belle communauté d’aficionados, entre 500 et 600 passionnés au compteur, dont 80% roulent en Flat-six et 20% sur d’autres modèles sportifs de la marque. Chaque samedi matin, entre 8h30 et 11h30, pendant que les enfants sont à l’école, les papassionnés échangent autour d’un café. On parle mécanique, projets, courses, ventes, reventes... C’est devenu un rituel. Et Nicolas ? Toujours là, sourire aux lèvres, prêt à prononcer les mots qui rassurent ou l’idée qui va bien.
Un passionné, un vrai. Comme on les aime.